| |
| notes:session_92 [2025-11-15 21:54] – créée Whidou | notes:session_92 [2025-12-06 14:15] (Version actuelle) – Manuel |
|---|
| |
| ===== Résumé ===== | ===== Résumé ===== |
| | |
| | Nos amis sont au milieu du charnier, en présence de plusieurs camps : Les femmes de verres et macaques de Girolamo, la [[org:fleurengrenage|]], les hommes-marmottes, le [[crea:megaparesseux|megaparesseux]], [[pnj:leva|Leva]] et [[pnj:juan|Juan]]. |
| | |
| | De ce qu’ils comprennent, la [[org:fleurengrenage|]] aurait déclenché la foudre pour empêcher une livraison d’armes entre [[pnj:girolamo|]] et les [[crea:homme-marmotte|hommes-marmottes]]. Le lieu est surplombé par une gigantesque statue de femme en tenue [[org:nomades|nomade]] appuyée sur une épée. |
| | |
| | [[pj:Galavar]] parle à [[pnj:Vaguebab]], le rescapé de la [[org:fleurengrenage|]], et apprend que son sergent est rentré sous terre. Il apprend aussi que l’escouade venait pour les [[crea:homme-marmotte|hommes-marmottes]], mais que le sergent a essayé d’arrêter tout le monde, et que la situation a dégénéré. Le tout aurait réveillé un [[crea:megaparesseux|megaparesseux]] sorti du sol. Il aurait aussi aperçu des « princesses de la nuit » sorties des légendes, qui règnent sur le dernier sérail. Il dit ça car des personnes avec des masques de porcelaine noirs s’en sont mêlés (l’équipe pense alors à [[pnj:casque-noir-60-pluralites|Casque Noir]]). |
| | |
| | L’escouade de la [[org:fleurengrenage|]] aurait pris un portail à la [[geo:basse_route_et_la_haute|Basse route et la haute]] pour les [[geo:cotes|Côtes]], grâce à un cristal fourni par [[pnj:gurin|Gurin Midori]]. Le sergent aurait en sa possession le cristal pour le chemin du retour. |
| | |
| | [[pj:Sophronia]] inspecte le charnier, pour chercher des indices. Elle observe une [[crea:homme-marmotte|femme-marmotte]], et un homme au visage boursoufflé par des piqûres d’insectes. |
| | |
| | [[pj:Galavar]] boit une goutte du sang d’une [[pnj:mange-chien|femme]] à l’allure de sorcière. Il a envie de chanter une chanson, qui ouvre une boîte dans laquelle était enfermé un livre avec des notes de musique (un livre de mélomancie écrit en [[lang:suinien|suinien]]). [[pj:Sophronia]] fouille alors le corps pour récupérer l’ensemble de ses possessions. |
| | |
| | Nos aventuriers décident de descendre en sous-sol. Un trou débouche sur une pièce triangulaire avec des étagères. [[pj:Galavar]] envoie ses [[crea:colibri_de_porcelaine|colibris]] en repérage. |
| | |
| | Avant de descendre, [[pj:Sophronia]] repère un [[crea:homme-marmotte|homme-marmotte]] agonisant, qu’elle recoud tant bien que mal. Elle le confie à [[pnj:mushu|Mushu]]. |
| | |
| | Les [[crea:colibri_de_porcelaine|colibris]] rapportent que la pièce triangulaire est une sorte de bibliothèque, avec trois portes. L’équipe descend avec Dent-Dent et [[pnj:Vaguebab]]. Il y a des fresques sur les murs, représentant des éclairs, du vent, et des arbres. Chaque mur comporte une porte avec un triangle et quatre rouleaux avec des symboles à faire défiler. [[pj:Galavar]] examine un des livres aux pages de porcelaine. Il s’agit, dans une forme archaïque de [[lang:crepusculaire|crépusculaire]], du tome 7 de « La philosophie du feu ». L’ouvrage parle de se débarrasser du doute, et de se concentrer sur le présent. |
| | |
| | [[pj:Sophronia]] parvient à ouvrir une porte en faisant défiler les rouleaux, qui débouche sur un couloir et une autre porte. [[pj:Galavar]] teste le même code, et ouvre une nouvelle salle triangulaire où l’air est extrêmement sec, à l’odeur de sel. L’endroit est rempli de vignes grises sur lesquelles poussent des cristaux carrés. Il y a deux grosses portes qui forment un angle de 45 degrés avec le sol, arrachées par les [[plant:vignesel|vignes]]. Une femme est présente, à la peau grisâtre, portant une clé rouge autour du cou. |
| | |
| | Elle demande d’éteindre la lumière, et dit qu’ils se trouvent dans le [[geo:tombeau_de_la_princesse_paradisi|tombeau de la princesse de flammes]]. La femme se nomme [[pnj:Navidorine]]. |
| | |
| | Elle dit que le tombeau est bien protégé, et extrêmement dangereux. [[pnj:Navidorine]] ne peut pas quitter la tombe sans son cœur de diamant noir, qu’elle cherche sans relâche. On l’aurait placée ici avec sa maîtresse, [[pnj:paradisi|la princesse]]. Elle aimerait partir, car on l’attend dans un [[geo:boudoir_des_dryades_de_sel|boudoir]] dans le [[geo:sous-monde|sous-monde]], avec Nadia, Nabila, Natacha… |
| | |
| | Elle dit se laisser guider par le sel. Elle explique que c’est elle qui contrôle les [[plant:vignesel|vignes]]. Elle explique que les objets sont majoritairement entreposés dans la partie sud du mausolée, et les prisonniers les plus dangereux dans la partie nord. |
| | |
| | Pour elle, quelqu’un souffre dans le [[geo:memorial_de_douleur|mémorial de douleur]], situé à quelques jours de marche, mais elle ne sait pas qui. |
| | |
| | L’équipe retourne dans la bibliothèque, et [[pj:Sophronia]] ouvre la porte sud. Nos héros débouchent sur une pièce particulièrement lumineuse. S’y trouvent six piédestaux organisés en triangle. Sur la plupart se trouvent des orbes qui ressemblent à des explosions figées. Sur le premier, la flamme fait comme la frondaison d’un arbre qui brûle, avec un labyrinthe en souterrain. Le deuxième ressemble à un soleil, avec sa partie sombre qui montre trois personnes portant des masques. La troisième a une forme humaine fragmentée, avec une scène de bataille d’une femme contre des démons au milieu. La quatrième est un losange lumineux, avec sur la partie sombre une femme en armure affrontant un monstre informe en duel. La cinquième est un cœur humain explosant, avec sur sa partie sombre trois hommes masqués (les mêmes que la deuxième, lisses et uniformes), avec posture royale. |
| | |
| | La sixième est en train d’être volée par une silhouette au masque de porcelaine noir qui pousse un grognement ([[pj:Velena]] sent une odeur de pluie sur de l’argile). [[pj:Galavar]] essaie de la raisonner, mais la personne leur lance l’orbe. |
| | |
| | Tout le monde se met à couvert, sauf [[pj:Velena]] qui essaie de rattraper l’orbe. Elle entend un bruit de craquement, et relance l’orbe sur la silhouette masquée. L’explosion se défige, et montre sur sa partie sombre une scène familiale avec 5 adultes : un [[crea:satrape|satrape]], une femme, trois hommes (les mêmes que précédemment), et deux enfants qui courent de dos. |
| | |
| | Le prince de la nuit meurt sur le coup, et l’orbe 5 manque de se déclencher. Son corps brûle de flammes blanches. Nos aventuriers étouffent les flammes, et fouillent le corps, trouvant juste une machette et un couteau. Ils entendent un cliquetis provenant de sa poitrine. [[pj:Galavar]] ouvre la poitrine de son épée, et trouve un cœur biomécanique. Après analyse d’[[pj:Erutan]], il s’agirait d’une technologie [[crea:vome|vome]] permettant de réanimer des cadavres. |
| | |
| | [[pj:Sophronia]] ouvre la porte ouest de la salle : S’y trouvent de grands anneaux de bronze concentriques en rotation, suspendus au plafond. En leur centre se trouve une grande silhouette blanche d’oiseau. Le même [[pnj:majordome_cendre|oiseau]] blanc d’un mètre cinquante de haut se trouve dans la pièce, sautille dans la direction de nos héros, et s’incline respectueusement. [[pj:Velena]] sent une odeur de citron et d’herbe fraiche. |
| | |
| | Il n’est pas doué de parole, mais confirme par des oui ou des non qu’ils se trouvent dans le tombeau d’une reine, autrefois appelée Paradisi. Pour lui [[pnj:Navidorine]] est une [[crea:dryade_de_sel|dryade de sel]], et n’est pas celle qu’on appelle [[pnj:reductance|]]. Une machine que cherche [[pj:Galavar]], qui immunise au contrôle mental, se trouve à l’est. |
| | |
| | [[pnj:reductance|]] ne serait plus totalement vivante, mais toujours dangereuse. Elle se trouve près de la reine. |
| | |
| | Ils prennent congé du [[pnj:majordome_cendre|messager sagittaire]], et retournent vers l’est. Ils débouchent sur une salle au sol et aux murs abîmés. S’y trouvent 7 statues et un babouin. Les statues, faites de métal liquide, semblent vivantes, et représentent des personnes masquées, type [[crea:prince_de_porcelaine|princes de porcelaine]]. Le babouin s’énerve, [[pj:Velena]] essaie de le calmer, mais il tape une des statues, qui tombe au sol et se brise, projetant du métal liquide, faisant tomber et se briser les autres statues. La salle tremble et commence à s’effondrer, écrasant le babouin dans une vague de mercure. Nos héros reviennent vite en arrière avant que le plafond ne s’effondre, condamnant le chemin. |
| | |
| | Ils remontent à la surface, et se rendent compte que deux corps de la [[org:fleurengrenage|]] ont été tirés vers les collines (grâce à [[pnj:Vaguebab]], qui a disparu sans qu’ils ne le remarquent ?) |
| | |
| | Ils trouvent un autre trou pour descendre plus à l’est, qui donne sur une salle avec des éclats de rubis, qui semble détruite. Des étagères avec des parchemins tombent en miettes, et un piédestal abrite les restes d’une statue de femme qui portait quelque chose. |
| | |
| | Nos aventuriers poussent au sud, et débouchent sur une salle en train de brûler. Des arbres brûlent, mais c’est en réalité une mise en scène. Des arbres de fer noir contiennent des bouts de tissu animés, qui imitent les flammes. Des papillons de tissu brillent plus fort quand [[pj:Velena]] passe avec sa lanterne. |
| | |
| | [[pj:Erutan]] tapote le sol de la salle avec une perche, et celle-ci se fait vite emmêler par les tissus. [[pj:Galavar]] envoie un [[crea:colibri_de_porcelaine|colibri]], qui se fait exploser par un papillon. L’équipe comprend que c’est la lumière qui active le mécanisme, et décide de traverser dans le noir, difficilement. Ils vont vers l’est, dans une salle éclairée par une flamme bleue. |
| | |
| | Au milieu de la salle se trouve un énorme cylindre de métal, d’où sort la flamme. Il est à relié à une multitude de machines. La flamme s’adresse à eux, et se présente comme [[pnj:Pense-les-Flammes]]. Il est fan de la [[pnj:paradisi|reine des flammes]]. |
| | |
| | Nos aventuriers tentent de comprendre ses origines, sans succès. Il dit n’avoir vu personne passer depuis longtemps, et garder aussi une clé rouge (il en faudrait 3 pour ouvrir le tombeau de la [[pnj:paradisi|reine des flammes]]). C’est lui qui a écrit les 49 tomes de la Philosophie des flammes trouvés dans la bibliothèque. |
| | |
| | [[pj:Galavar]] l’interroge, et comprend que c’est lui la machine qui immunise au contrôle mental. [[pnj:Pense-les-Flammes]] veut bien les accompagner, mais il doit d’abord donner sa clé rouge à quelqu’un de sage. |
| | |
| | Pour libérer une ville du contrôle mental, il aurait besoin de se remplir de kérosène, et des codes adéquats. Il précise que si quelqu’un est déjà immunisé au contrôle mental dans le périmètre, il risque de se griller les neurones. C’est un dispositif créé spécialement pour lutter contre les créations des [[crea:vila|vilas]], [[crea:tete_de_chien|hommes-chiens]] et [[crea:chat|chats]]. Il ne sait pas quels seraient les effets sur les [[crea:tete_de_chien|hommes-chiens]]. |
| | |
| | Pour savoir s’ils sont sages et s’il peut leur confier la clé, il leur laisse deux énigmes : |
| | |
| | « Je trouve ton chemin, mais pas toi. » |
| | |
| | « La mort de la vie quotidienne. Qui suis-je ? » |
| | |
| | |
| |
| ===== Objectifs ===== | ===== Objectifs ===== |